Francis Ngannou révèle le "petit" salaire qu'il touchait à l'UFC avant de devenir champion
Sur fond de tensions avec l'UFC après sa signature au PFL, Francis Ngannou est à nouveau monté au créneau. Il a notamment dévoilé le montant "dérisoire" de son salaire avant de devenir champion.
Depuis l'annonce de la signature de Francis Ngannou au PFL, le ton ne cesse de monter entre le combattant et Dana White, président de l'UFC. Désaccords, manque de respect, les deux hommes continuent de pointer du doigt les supposées fautes de l'autre qui ont abouti à l'échec des négociations pour une prolongation de contrat. Dans ce cadre, le Camerounais a dévoilé le montant de son salaire avant son titre de champion poids lourd. Et ce n'était pas énorme...
Le salaire "dérisoire" de Francis Ngannou avant son titre à l'UFC
Dès ses débuts à l'UFC en 2015, Francis Ngannou a impressionné les observateurs par sa force et son pouvoir de KO. Des qualités qui ont fait sa renommé et qui lui ont permis d'acquérir une certaine notoriété. Mais cette popularité ne s'est pas forcément traduite d'emblée sur le plan financier. Dans un entretien récemment accordé au Dan LeBatard Show, le "Predator" a ainsi détaillé ses conditions contractuelles et salariales avant son titre de champion obtenu en 2021 :
« Mon contrat était exclusif, je n’avais donc pas d’autres revenus et ils me tenaient captif de cela. Ils essayaient de faire croire que je voulais plus d’argent, mais ce n’était pas le cas. S’il s’agissait de plus d’argent, j’aurais signé le contrat parce que c’était plus d’argent. Avant le titre, je gagnais 100-120 000 dollars par combat."
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Développer le MMA en Afrique
Une somme qui parait énorme pour le commun des mortels, mais qui n'est en réalité pas grand chose par rapport à ce que Francis Ngannou pouvait rapporter à l'organisation. C'est d'ailleurs pour ce manque de considération financier et humain que le golgoth a décidé de partir et de rejoindre le PFL.
Une organisation au sein de laquelle il aura plusieurs casquettes. D'abord celle de combattant poids lourd. Mais aussi celle de président de la branche Afrique du PFL. Un responsabilité énorme pour celui qui veut développer la pratique sur son continent d'origine.