Après Paris, l'UFC annonce vouloir organiser d'autres évènements en France

La légalisation du MMA n’a pas été faite en vain. L’ancienne ministre sports, Roxanna Maracineanu a donné vie à une grande communauté et depuis elle s’agrandit. Les licenciés sont de plus en plus nombreux, les organisations aussi ! Pour preuve, l’UFC va pour la première fois organiser un événement sur le sol français ce 3 septembre, et va peut-être continuer sur cette lancée.

L’UFC Paris, l’éclaireur

L’UFC Paris est une consécration pour la communauté MMA de France. Voir Nassourdine Imavov, Benoît Saint-Denis, Zarah Fairn, Taylor Lapilus, et pour ne pas oublier, le main-event de l'événement Ciryl Gane, se battre pour la première fois dans l’histoire de l’UFC, en France. C’est historique pour l’organisation numéro une de MMA, pour les combattants et les fans.

Et comme si ce n’était pas assez, le directeur général de l’UFC, Lawrence Epstein aurait encore des idées pour la France :

" Nous avons dans l’idée de faire un événement par an à Paris. Et nous voulons aussi aller dans d’autres villes, car nous savons que nous avons beaucoup de fans dans le pays. Le sud de la France, par exemple, est un gros foyer du MMA donc nous savons que nous ferons des événements là-bas en plus de ceux à Paris. "

Les portes s’ouvrent, mais peuvent se refermer

Les places se sont vendues en un instant, Dana White peut dire que l’affaire est dans le sac, un nouveau public lui ouvre les bras, mais en réalité, la soirée de l'UFC Paris, est à double tranchant.

En effet, les fans sont déjà assez nombreux pour remplir des stades, ce n’est pas exceptionnel que, pour ce premier événement, tous les billets se soient volatilisé en très peu de temps et ce, malgré le prix exorbitant des places.

Le MMA vient à peine de se démocratiser, mais peut encore créer la polémique et se voir fermer des portes, et même re-entaché sa réputation. Les drames peuvent vite arriver dans une cage et même en dehors. À voir comment se déroulera cet UFC.