Francis Ngannou annonce de gros projets pour le PFL Afrique, et vouloir developper le MMA sur le continent

Francis Ngannou a de grandes ambitions pour le MMA africain
© PFL
Francis Ngannou a de grandes ambitions pour le MMA africain

Francis Ngannou s'est exprimé sur l'implantation du PFL en Afrique en 2025. Un investissement qui pourrait améliorer la situation précaire du MMA africain.

Interviewé par la chaine YouTube Investir au Pays, Francis Ngannou en a dit davantage sur sa volonté de s'investir en Afrique en MMA, et les projets du PFL sur le continent. Signé au PFL, Francis Ngannou s'est pourtant montré plus investi en boxe anglaise qu'en MMA ces derniers temps, la discipline dans laquelle il a connu ses plus gros succès. Pourtant, de gros projets sont attendus du coté du MMA avec le "Predator". Dans son interview, l'ancien champion de l'UFC parle des projets du PFL en Afrique et des gros manques d'infrastructures de MMA sur le continent, un vide qu'il pourrait contribuer à combler.

L'implantation du PFL en Afrique pour 2025

"Le PFL Afrique sera lancé en 2025, officiellement". C'est une précision qui vient rappeler l'engagement de Francis Ngannou en MMA, avec le PFL. Très investi en boxe anglaise, on pourrait croire que l'ancien champion de l'UFC est désormais un boxeur à temps plein, mais le combattant n'a pas du tout abandonné ses engagements envers le MMA. Président du PFL Afrique, Francis Ngannou est la personne clef de ce projet de développement du MMA en Afrique.

Avant l’évènement en 2025, d'autres évènements devraient avoir lieu, pour mettre les combats sur une rampe de lancement : "Cette année (NDLR : en 2024) on fera le lancement, les conférences de presse, mais les compétitions c'est en 2025".

Un investissement qui pourrait améliorer une situation précaire pour le MMA en Afrique

Si le PFL souhaite investir en Afrique, c'est que le continent manque d’infrastructures en termes de MMA. Francis Ngannou, qui lui même a dû s'expatrier en Europe pour développer sa pratique et devenir professionnel, parle des grandes difficultés des combattants africains à se développer et combattre, alors qu'ils sont pourtant très talentueux : "Où est-ce qu'ils vont acquérir de l’expérience ? Il n'y a pas, on est obligé pour les encourager, pour leur permettre de continuer les entraînements, de leur trouver des compétitions ou d'organiser des compétitions".

Ce vide en Afrique en ce qui concerne le MMA, le PFL pourrait bien le remplir, en s'implantant durablement sur le continent et en mettant de gros moyens sur la table. Si tout est encore au stade du projet, de grandes choses pourraient se produire en Afrique prochainement.