Le boxeur Ryan Garcia fustige les Jeux olympiques de Paris 2024

Ryan Garcia a critiqué les JO de Paris 2024.
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Ryan Garcia a critiqué les JO de Paris 2024.

Les Jeux olympiques de Paris 2024 n'ont visiblement pas plu à Ryan Garcia. Sur les réseaux sociaux, le pugiliste a tancé l'évènement.

Pendant un peu plus de deux semaines, les Jeux olympiques de Paris 2024 auront enchanté le public. Performances et prouesses sportives, décors magnifiques, ambiance au rendez-vous... La majorité des médias et observateurs ont été emballés et pris par les émotions . Mais certains n'ont pas vraiment apprécié. Notamment Ryan Garcia, star de la boxe anglaise, qui a vivement critiqué l'évènement.

Ryan Garcia n'a pas apprécié les JO

Grand nom de la boxe anglaise enchainant actuellement les scandales, Ryan Garcia n'a pas vraiment goûté à ces Jeux olympiques organisés à Paris. Dans le collimateur du pugiliste notamment, la cérémonie d'ouverture, à l'instar de Benoit Saint-Denis et Islam Makhachev. Dans une publication sur X(anciennement Twitter), l'Américain n'a pas mâché ses mots :

"Les Jeux olympiques de Paris sont considérés comme les pires Jeux olympiques de tous les temps. Ils ont manqué de respect à Jésus devant des millions de personnes. Et cela a rendu les gens malades. Je veux dire que c'était mauvais, il n'y a aucun débat possible."

"Fédérateur plutôt que subversif", selon l'organisation

Ryan Garcia n'a pas été le seul à être critique envers la cérémonie d'ouverture. À l'origine de cette évènement se trouve Thomas Jolly. Directeur artistique, le natif de Rouen avait pris la parole dans un entretien sur RTL pour défendre sa création et sa vision des choses, pointant notamment du doigt qu'il n'avait pas chercher à heurter et à diviser :

"Ma volonté n'est pas d'être subversif, ni de me moquer, ni de choquer. Ma volonté est simplement de dire que nous sommes ce grand "Nous". J'ai surtout eu envie d'envoyer un message d'amour, un message d'inclusion et pas du tout de diviser. Justement parce que je pense que ça suffit. Avec mon équipe, nous voulions que ce soit plutôt fédérateur, plutôt que subversif".