Benoit Saint-Denis critique la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024
Combattant français de l'UFC, Benoit Saint-Denis a pris la parole pour dénoncer certains passages de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024 qu'il n'a pas appréciés.
Si la cérémonie d'ouverture de Jeux olympiques de Paris 2024 a été saluée à l'international, elle a également suscité quelques critiques. Notamment au niveau de certains tableaux qui ont pu heurter certaines sensibilités. Ce samedi 27 juillet, le combattant UFC Benoit Saint-Denis a fait part de sa déception quant à la représentation de la chrétienté présentée à travers cet évènement.
Les critiques de Benoit Saint-Denis
Chrétien et n'hésitant pas à afficher sa foi sur ses réseaux sociaux, Benoit Saint-Denis n'a pas apprécié certains passages de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024. S'il a aimé les images des sportifs défilant sur la Seine, la représentation du Christianisme et certains tableaux n'ont pas vraiment été au goût de celui qui combattra en main-event de l'UFC Paris 2024 le 28 septembre prochain.
Dans une publication sur ses réseaux sociaux, l'ancien membre des forces spéciales a ainsi fait part de son ressenti en joignant une photo de la délégation française : "La plus belle photo de cette cérémonie d’ouverture. Déçu de l’affront et de l’humiliation que la chrétienté a subis. Les jeux sont un moment de fraternité. Maintenant place au sport, force à tous nos Français".
Le directeur artistique de la cérémonie d'ouverture s'explique
À l'origine de cette cérémonie d'ouverture se trouve Thomas Jolly. Directeur artistique, l'homme de 42 ans a pris la parole dans un entretien sur RTL pour expliquer sa vision, appuyant notamment sur le fait qu'il n'a pas chercher à heurter et à diviser :
"Ma volonté n'est pas d'être subversif, ni de me moquer, ni de choquer. Ma volonté est simplement de dire que nous sommes ce grand "Nous". J'ai surtout eu envie d'envoyer un message d'amour, un message d'inclusion et pas du tout de diviser. Justement parce que je pense que ça suffit. Avec mon équipe, nous voulions que ce soit plutôt fédérateur, plutôt que subversif".