Le coup de gueule de Conor McGregor sur l'immigration en Irlande
Dans une série de publications sur X, Conor McGregor, superstar de l'UFC, a vivement critiqué la politique migratoire en vigueur en Irlande.
Éloigné de l'octogone depuis plus de 3 ans et sa dernière défaite face à Dustin Poirier, Conor McGregor veut faire son retour à l'UFC en fin d'année 2024 face à Michael Chandler. Mais en attendant de combattre à nouveau, la superstar du MMA est très active sur d'autres terrains. Notamment les réseaux sociaux où le "Notorious" a fortement critiqué la politique de l'Irlande en matière d'immigration.
La nouvelle prise de position de Conor McGregor contre l'immigration
Depuis quelques années, l'immigration est devenu un sujet sensible et source de tension en Irlande. En 2023, de violentes émeutes avaient éclaté dans le pays suite à une attaque au couteau perpétrée par un individu d'origine algérienne. À l'époque, Conor McGregor avait déjà pris la parole sur le sujet, critiquant l'ouverture des frontière et la hausse de l'accueil de migrants.
Une position qu'il vient de réaffirmer ce mercredi 24 juillet. Sur X (anciennement Twitter), le combattant de MMA a publié une série de tweets critiquant le gouvernement actuel et sa politique migratoire. Dans l'un d'entre eux, il a partagé un texte équivoque : "l'invasion massive d'un pays est un acte de guerre. Un gouvernement qui ne réussit pas à protéger son peuple est un acte de trahison".
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Un futur dans la politique ?
Une position on ne peut plus claire et assumée de la part de Conor McGregor. Ce n'est pas la première fois que le "Mystic Mac" affiche ouvertement ses opinions politiques. En 2023, il avait même ouvert la porte à une potentielle future candidature à l'élection présidentielle :
"Jeune, actif, passionné, à la peau neuve. J’écoute. Je soutiens. Je m’adapte. Je n’ai aucune affiliation, aucun préjugé, aucun favoritisme à l’égard d’un parti. Ils seraient véritablement tenus de rendre des comptes sur l’état actuel de l’opinion publique. Je présenterais tout cela aux urnes. Il y aurait des votes chaque semaine pour s’en assurer. Je peux financer. Ce ne serait pas moi qui serais au pouvoir en tant que président, peuple d’Irlande. Ce serait moi, et vous."