Ragnar Le Breton fixe sa seule condition pour son retour en MMA dans un combat
Ragnar Le Breton n'en a pas fini avec le MMA ! S'étant récemment entretenu avec Fernand Lopez, dirigeant d'Ares, il a fixé ses conditions pour un combat dans la cage.
L'histoire entre Ragnar Le Breton et le MMA n'est pas terminée ! L'an dernier, l'humoriste devait faire ses grands débuts dans la cage à l'Ares FC face à Daniel Lentie. Mais au dernier moment, son adversaire avait annulé le combat en raison d'une blessure. Cela avait provoqué la colère de la star des réseaux sociaux qui était contraint de retourner à ses occupations artistiques et d'abandonner son rêve. Mais 2024 pourrait bien être l'année où le public verra enfin Matthias Quiviger (son vrai nom) pénétrer dans l'octogone !
Ragnar Le Breton veut encore combattre en MMA
Occupé par ses rôles au cinéma et sa tournée, Ragnar Le Breton n'a pas oublié son rêve de MMA. Lors d'une apparition sur Mouv, l'artiste a reçu une question de son ami Franck Gastambide concernant son avenir dans les arts martiaux mixtes. Il a alors dévoilé qu'il avait récemment eu une conversation avec Fernand Lopez, dirigeant d'Ares, et qu'il avait fixé une condition pour combattre :
"J'ai eu Lopez au téléphone. Il m'a proposé de recombattre Daniel Lentie. J'ai dit non. Parce que Daniel m'a tellement déçu d'annuler le combat, l'attitude, je n'ai pas aimé, de ne pas affronter le problème. J'ai dit qu'une fois que j'aurais fini toutes mes activités, trouve-moi quelqu'un de plus cohérent et on ira au front. Dans tous les cas, je pense que je ne finirais pas mes jours sans avoir gouté à l'expérience d'un combat. 2024 ? On espère."
Un premier combat déjà effectué
Mais si le public attend avec impatience de voir Ragnar Le Breton en action dans l'octogone. Il faut savoir qu'il comptedéjà un combat à son palmarès en MMA professionnel. C'était en janvier 2023 au HFC en Suisse, une défaite par soumission dans le 1er round face à son partenaire d'entrainement Xavier Lessou.
Mais ce combat n'en était pas vraiment un. En effet, il servait surtout à contourner le règlement en vigueur en France qui impose à un athlète d'avoir une carrière en amateur ou un combat à l'étranger pour pouvoir se produire de manière professionnelle dans l'Hexagone.