Attaqué à la machette dans la rue, un combattant pro de MMA démolit son agresseur
Javier Baez, combattant pro de MMA à la retraite, a été victime d'une agression au couteau à Miami. Mais il est parvenu à maitriser l'assaillant grâce à son expérience dans les arts martiaux mixtes.
Combattant de MMA professionnel désormais à la retraite, Javier Baez a sans aucun doute remercié celui qui l'a initié aux sports de combat. Alors qu'il se trouvait sur un parking à Miami (États-Unis), l'ancien sportif a été agressé par un homme sorti de nulle part et muni d'une machette. Une attaque qu'il a réussi à maitriser, faisant ainsi passer un sale moment à l'assaillant.
Une attaque parfaitement maitrisée
C'est littéralement un exploit qu'est parvenu à réaliser Javier Baez. Alors qu'il n'était que 4 heures du matin, l'ex-combattant se trouvait sur un parking à Miami. Un homme a alors déboulé à toute vitesse en sa direction, machette à la main, pour tenter de l'agresser. Mais ce dernier ne savait certainement pas à qui il s'attaquait.
Fort d'une solide expérience dans les arts martiaux mixtes, Baez a su gérer la situation à la perfection. Après la première tentative de coup portée par son "adversaire du soir", il l'a attrapé au niveau des épaules et l'a violemment projeté au sol. Là, il a réussi à enlever la machette à son agresseur en lui portant un étranglement bras-tête. Une défense incroyable capturée en vidéo par les caméras du parking.
"Quand j'ai commencé à placer l'étranglement, il a lâché son couteau"
Forcément, la séquence a fait le tour de la planète et la défense de Saez, qui possède un palmarès de 5 victoires pour 2 défaites et 1 nul en MMA, a été largement salué. Interrogés par les chaines de télévision américaine ABC News et CBS, il a raconté l'assaut :
"C’est parti de rien, il était là, en train de crier au téléphone. Ensuite, il s’est disputé pendant un moment avec une femme. Après, il a tapé à la fenêtre de ma voiture. Je lui ai dit de me laisser tranquille. Il n’arrêtait pas alors je l’ai mis par terre, j’ai mis mon genou dans son dos et j’ai appelé les flics. Une fois que j’ai commencé à placer l’étranglement, il a lâché son couteau. En effet, personne ne s’inquiète de rien d’autre que de respirer quand on manque d'air ".
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