1 mois après sa défaite contre Doumbé, Jordan Zébo donne des nouvelles de son état

Benoit Desaint
Jordan Zébo veut combattre à nouveau en décembre 2023.
© Instagram Jordan Zébo
Jordan Zébo veut combattre à nouveau en décembre 2023.

Défait par Cédric Doumbé en 9 secondes, Jordan Zébo a pris la parole pour donner de ses nouvelles. Il a également évoqué son avenir, ciblant un retour rapide à la compétition.

Face à Cédric Doumbé au PFL Paris le 30 septembre dernier, Jordan Zébo n'a pas pu montrer son talent. Après 9 petites secondes, le pensionnaire du MMA Factory a été attrapé sur un crochet du gauche, tombant immédiatement KO. Une contre-performance qu'il doit désormais oublier pour passer à autre chose. Un mois après ce revers, il s'est ainsi exprimé, donnant des nouvelles de son état et des informations concernant son avenir.

Jordan Zébo rassure

Face à Cédric Doumbé, Jordan Zébo a subi la première défaite de sa carrière professionnelle en MMA. Et pas n'importe quelle défaite puisque celle-ci est survenue en quelques secondes sur un KO qui a fait le tour de la planète. Le genre de revers qui peut être compliqué à gérer sur le plan émotionne. Mais dans une interview accordée à la chaine YouTube The Fight Club, le jeune athlète de 23 ans a tenu à rassurer les fans sur son état, étant déjà tourné vers l'avenir :

"Je suis surpris de moi-même. Je savais que j'étais assez solide et avec un bon mental, une bonne manière de voir les choses, toujours du coté positif. J'ai super bien géré. Même sur le combat, j'arrive à trouver des petites choses en moi qui font que, dans les prochaines échéances, peu importe ce qui arrive, je ne retrouverais pas la même chose, même à l'UFC. C'est une grande découverte."

Un retour rapide dans le viseur

Quelle suite pour Jordan Zébo ? Au PFL, il n'avait signé que pour un combat contre Doumbé. Lié à l'Ares FC, il a dévoilé qu'il souhait revenir très rapidement dans l'une des deux organisations et que les négociations étaient en cours : "Moi, j'avais envie de revenir en décembre. Là, en fonction des opportunités, peut-être que ça va être plus en janvier. Et on ne sait pas si ça va être à l'Ares ou au PFL. Mais on essaie de négocier pour être dans les deux organisations et pouvoir être libre. Si y a quelque chose qui m'attend, que je sois toujours disponible."