La légende croate du MMA Mirko Cro Cop démolit un reporter japonais avant le match au Mondial 2022
Avant la rencontre Japon-Croatie à la Coupe du Monde 2022, Mirko Cro Cop a reçu la visite d'un journaliste nippon. Il en a profité pour lui envoyer son célèbre coup de pied de la jambe gauche.
Comme tout bon fan de football qui se respecte, Mirko "Cro Cop" Filipovic suit assidument la Coupe du Monde 2022 se déroulant au Qatar. Ancien combattant de MMA désormais à la retraite, le Croate est bien évidemment derrière sa sélection nationale qui affrontera le Japon en huitième de finale ce lundi 5 décembre. À cette occasion, le sportif a ainsi reçu la visite de la télévision nippone dans sa salle d'entrainement. Et il n'a pas manqué d'envoyer son légendaire coup de pied au journaliste.
Le coup de pied foudroyant de Mirko Cro Cop à un journaliste japonais
"Jambe droite hôpital, jambe gauche cimetière". Telle est la maxime qui était utilisée pour décrire la puissance des kicks de Mirko Cro Cop à l'époque. Alors qu'il tournait un reportage en amont du match Japon-Croatie, le journaliste de Nippon TV a ainsi voulu tester si la légende était vraie. Une séquence partagée par l'ancienne gloire du Pride sur son compte Instagram :
"Ce matin, j'ai reçu la visite de Nippon TV concernant le match Croatie - Japon. Après la conversation, le journaliste m'a demandé de frapper le pao qu'il tenait. On m'a souvent demandé cela lors de différentes visites au Japon tout au long de ma carrière. Il voulait probablement sentir à quel point je pouvais frapper fort.. Le gentleman de la vidéo se souviendra sûrement de sa visite en Croatie pendant longtemps, et d'une certaine façon j'ai peur qu'il marche sur les mains pendant les prochains jours. Allez la Croatie !"
Légende au Japon
Si le journaliste japonais s'est aventuré jusqu'en Croatie pour venir à la rencontre de Mirko Cro Cop, c'est avant tout pour s'entretenir avec une véritable icône au pays du Soleil-Levant. À l'instar d'un Jérôme Le Banner, l'athlète a en effet marqué les esprits au Japon grâce à ses exploits au K-1 et au Pride, organisation de MMA qui était plus populaire que l'UFC dans les années 2000. Ses combats contre Fedor Emelianenko, Kevin Randleman ou encore Josh Barnett sont rentrés dans la légende, en même temps que lui.