Conor McGregor dit tout ce qu'il pense des combats de gifles organisés par le président de l'UFC
Lancée par le président de l'UFC, Power Slap est une ligue de concours de gifles. Une nouvelle organisation qui a suscité l'intérêt de Conor McGregor.
C'est la nouvelle lubie de Dana White. Le 18 janvier dernier, le président de l'UFC a lancé sa nouvelle organisation de "sports de combat", Power Slap. Une ligue mettant en lumière une discipline en plein essor dernièrement, le concours de gifles. Et si certains ont pu exprimer leurs critiques envers cette pratique quelque peu barbare, Conor McGregor s'est quant à lui montré très intéressé par l'évènement.
L'analyse des combats de gifles par Conor McGregor
Toujours très actif sur les réseaux sociaux, la superstar de l'UFC a plutôt apprécié le spectacle proposé lors de la première édition de Power Slap. Sur Twitter, il s'est même imaginé prendre part au projet : "Je pourrais potentiellement être le Joe Rogan de Power Slap", a-t-il lancé, faisant référence à l'iconique commentateur de l'UFC.
Des propos suivis d'une tentative d'analyse de la technique pour asséner une gifle suffisamment puissante afin de mettre KO son adversaire : "Le power slap montre l'importance de tourner votre épaule vers l'arrière et de gainer votre tronc pendant pendant la gifle. "Tourner la hanche" est potentiellement la mauvaise terminologie utilisée. Les hanches moins importantes ? Possible aussi. Tournez votre épaule vers l'arrière et gainez complètement pour frapper ! KO !"
Un sport plus que décrié
Un certain intérêt de Conor McGregor pour la discipline qui contraste avec l'avis de nombreux observateurs. En effet, depuis le lancement de Power Slap, les voix s'élèvent pour dénoncer le caractère dangereux de la pratique.
Dans les sports de combat comme la boxe ou le MMA, les coups peuvent être parés. En concours de gifles, on attend juste de recevoir la baffe en espérant rester debout. Un manque de défense auquel on peut ajouter la notion de KO. Si l'un des athlètes est envoyé au tapis, il n'est pas directement arrêté. Il a 10 secondes pour se relever. S'il y parvient, il reste dans le duel et peut ainsi se prendre un autre KO quelques secondes plus tard. Une manière de procéder très traumatique pour le cerveau.